selica18

Les beaux jours de la frêle matinée, que j'ai tant cherché à voir, les yeux fermés. Pourtant, même mes cris de désespoirs ne parviendront pas à tes oreilles. Tenté, je veux bien, essayer, je le fais, mais toi, tu fais le sourd. Alors que dehors les saisons passent, la neige tombe, puis font, les bourgeons éclate et les fleurs jaillissent, le soleil brule nos souvenir et reviens l'automne qui laisse tombé ses feuilles, nos espoirs... Que j'aimerais être toi... Nous... La vie ma ouvert ses belles grandes ailles blanches, qui vinrent aujourd'hui plus au gris du malheur et de la peur. J'ai beau te chercher, mais quand je t'ai, tu trouves le moyen de fuir... Ai-je réellement aimée? Au moins une partie de toi? Oui, mais quand est-il de toi? Lorsque tu me voyais? Était-ce un vrai sourire, remplis de joie et de bonheur? Une moue qui en dit plus sur nous, que les mots que nous nous forçons à prononcer quand, cette saison, ce meure. La souffrance du jour, au jour, le temps passe, mais la douleur reste. Toi, mon ange? Mon démon? Ma folie? Tous mes malheurs, ou la raison de mes bonheurs? Je ne sais pas... Je ne pense pas... Mais pourtant, quand tu étais là, collé contre moi ou au loin, je te sentais... Ta respiration, ta passion, ta voix, tout ce qui me rappelle-toi... Et sais-tu? Cette endroit, la même qui me fais souffrir par ta faute. Je m'entête à y retourner, car même si tu es partis je persiste à croire que tu reviendras. Cet endroit qui a vus toutes mes peines, un journal intime, silencieux qui me répond. Je te vois là, debout devant moi, au milieu de la place, le jour de notre rencontre, de notre premier rendez-vous et mon lieu de souffrance. J'écoute notre chanson en boucle, croyant, peut-être, que tu l'entendrais, là-bas, comme ici. Où son passé nos folles années, nos espoirs, nos promesses? Tout notre avenir, un jour, tu me disais, un jour. Un jour nous aurons une grande maison, avec un grand jardin et une piscine. On élèverait lentement notre fille, la voyant jouer avec ses poney et ses jouets pas millier. Ni moi, ni elle ne manquerais de rien, te souviens-tu? Tu me l'avais pourtant promis... Une autre promesse jetée en l'air.... Quand je t'appelle, tu ne réponds plus. Quand je te vois, tu ne me regarde plus. Il faut croire, que pour toi ce n'est pas si dure d'oublier... D'effacer... De détester! Une femme qui t'a resté fidèle et qui te le restera... Une femme qui t'aima, plus qu'elle ne le croyait... Mon cœur se réparera un jour... quand il n'aura plus de place... T'a petite princesse d'avant pleure et toi, qui lui avait promis que personne n'avais le droit de la faire pleurer, ne fais rien pour l'en empêcher. En ce jour, je ne veux plus croire, car par ta faute j'ai peur de croire...  
Au revoir.... Mon amour....
Soldiers by Ticoun on Deviantart